Comment râler influence notre capacité à comprendre les messages de Dieu

Il y a deux manière de recevoir un commandement de Dieu. La première est d’être sceptique, de râler et de ne pas le faire ou le faire à contre cœur. La deuxième est de faire confiance et d’agir avec foi d’un cœur volontaire. Les fils de Léhi ont réagi de ses deux manière lorsqu’il leurs a demandé de retourné à Jérusalem chercher les plaques d’airain. Laman et Lémuel ont murmuré. Néphi, pour sa part a décidé d’aller et de faire le chose que le seigneur avait commandé. Quand il a vu comment son fils avait réagit Léhi lui a dit « va, mon fils, et tu seras favorisé du Seigneur parce que tu n’as pas murmuré. » (1 Néphi 3:6) 

Par la suite, alors que récupérer les plaques d’airain s’avéraient plus difficile que prévu, Laman et Lémuel voulait abandonner et partir. Mais Néphi expliqua « Et voici, Dieu juge sage que nous obtenions ces annales, afin de préserver, pour nos enfants, la langue de nos pères ; et aussi afin de préserver pour eux les paroles qui ont été dites par la bouche de tous les saints prophètes, qui leur ont été remises par l’Esprit et le pouvoir de Dieu, depuis le commencement du monde jusqu’au temps présent. » Il est intéressant de voir que ces raisons n’ont jamais été donné par Léhi lorsqu’il a demandé à ses fils d’aller chercher les plaques. Néphi avait reçu l’inspiration qui lui a permis de comprendre pourquoi Dieu avait donné ce commandement. 

Lorsque nous choisissons de râler, de faire les choses à contre cœur, nous nous coupons de Dieu. Il ne peut plus nous guider parce que nous l’avons rejeter. Au contraire lorsque nous lui faisons confiance, il voit que nous sommes disposé à l’écouter et peut alors nous donner plus de révélation. 

J’ai vécu ce principe lorsque nous nous sommes retrouvé enfermé à l’extérieur de notre appartement car nous avions laissé les clés à l’intérieur. Le serrurier qui a nous facturé 100 euros l’ouverture nous a conseillé de dire à l’assurance qu’on avait perdu les clés afin d’être remboursé. Mais nous savions que Dieu nous a demandé d’être honnête. Lorsque nous avons appelé l’assurance, nous avons expliqué la vrai situation, et nous n’avons pas été remboursé. 

J’ai été pourtant surpris du nombre de fois où par la suite, certaines situations ont tourné à mon avantage car l’on m’a dit « on sent que vous êtes honnête ». 

Faisons confiance à Dieu, et en temps voulu, nous comprendrons pourquoi il nous a demandé d’agir de tel ou tel manière.